Le travail avance dans le bruit des tronçonneuses et la fumée des feux. Nous sommes dans la partie boisée, il y a moins d'arbustes et d'épines. On a donc progressé beaucoup plus vite. Environ trois cents mètres. Il en reste une centaine.
Et c'est l'heure du repas, alors il faut revenir vers la table. Une longue marche commence...
C'est là qu'on a fait un constat. La table est bien, mais un peu juste. Quand les bouteilles sont sorties, il n'y a plus de place pour les assiettes et les plats...
Alors on s'est dévoué pour vider toutes ces bouteilles qui font désordre (dont la trousse-pinette fournie par Jean). Ensuite on a pu savourer les quiches de Jean-Luc, le chili con carné de Françoise, et les gâteaux concoctés par Madame Bordier. Francis s'était vu interdire de fournir quoi que ce soit, bien qu'il avait un mets en tête. Ce n'est pas perdu...
Un grand merci à Fabrice (Mécanique du Pays Fort) qui a déssouché le début du chemin avec sa pelleteuse.